On s'offre un bout de rêve, ou plutôt une allée de chips défraîchies sur une étagère poussiéreuse ? Ayez l'âme d'Jeff .B, certes version discount, mais votre ambition plane dans les artères de San Andreas. Les LTD qui jadis étaient des temples de la procrastination alimentaire ont fermé les uns après les autres pour de multiples raisons telles que les crises, l'inflation galopante, et le manque d'enthousiasme… Il faut croire que vendre des sandwichs triangles ne faisait plus rêver.
C'est pas de la crypto, mais ça peut rapporter gros.
Voilà que renaît le phénix du commerce de proximité. Les quartiers s'agitent, certains retrouvent des couleurs et, pour les plus futés, c'est le moment idéal de se glisser dans la brèche. Un flair aiguisé, un dossier « mignon et kawai » (ou pas), et hop ! Voilà le gouvernement tout prêt à vous dérouler le tapis rouge pour reprendre l'un des LTD : West Coast, Route 68, Sandy Shore ou Paleto Bay, choisissez votre scène de crime gastronomique.
Soyons toutefois lucides, ce n'est pas encore Wall Street, hein. Le marché local, c'est plutôt « survival of the cheapest ». Mais dans cette ère où tout le monde rêve d'être son propre patron pour mieux échouer en toute autonomie, reprendre un LTD vous tend la main.
Un dossier sous le bras, une pointe d'ambition mal placée, et vous pourrez régner en autocrate sur le rayon tabac et boissons tièdes.
Moralité : tous au supermarché !
La relance économique commence parfois par la caisse d'un supermarché low-cost. Ceux qui savent y voir un tremplin, plutôt qu'un gouffre, auront peut-être le privilège de léguer à leurs petits-enfants… un badge d'employé du mois et la recette inédite du sandwich jambon-mayo ou une fortune non imposable (sous réserve d'avoir un bon conseil) !
À vos dossiers et vos rêves de grandeur, San Andréa n'attend que vous pour raviver la flamme du commerce local.